Une semaine à Bali

A Hong Kong tout comme en Chine, la principale periode de vacances est durant (à la suite) du nouvel an chinois. Ce dernier étant basé sur le calendrier lunaire, les dates changent chaque année mais pas le remplissage des avions et trains au départ de Hong Kong

Il faut donc “maliner” pour trouver des vols pas cher au tout du moins abordables en cette periode. Lorsque j’ai vu, un peu hasard, en testant HKG-DPS sur Skyscanner, un vol aller-retour en direct pour 400 euros, j’ai sauté sur l’occasion.

Denpasar (Bali) est a 5h de vol de Hong Kong et les vols direct sont soient opéré par Cathay Pacific soit Hong Kong Airlines. Ou alors il faut prendre une escale à Singapour ou Manille ou Jakarta. Mais ca, c’etait avant. Puisque Tiger Air Mandala a ouvert une ligne Hong Kong – Bali en direct. Ce qui est une bonne nouvelle. A la base Tiger Air Group est un holding Singapourienne, dont j’avais déjà pu prendre un vol avec mais pour Singapour (bien évidemment).

Bref, on a réservé nos billets dans la foulée. Coup de chance supplémentaire, les horaires du vol : départ de nuit de Hong Kong pour arriver à 7h du matin a Bali et retour vers 1:30 du mat sur Hong Kong. Ce qui nous donnait 5 jours complets ou presque pour 1 jours de congés posé. Et tout expat en contrat local en Asie comprendra de quoi je parle, quand je dis “efficience de la pose de jour de congés”.

Nous voila donc arrivés à Bali le jeudi matin, plutôt complétement crevé car étonnement, ils n’ont pas éteint les lumières dans l’avion durant les 5heures de vol de nuit… sans parler d’un A320-200 habillage low-cost (= peu des place pour les jambes).On cherche les taxis. Il semblerait qu’il n’y ait qu’un stand avec prix fixes bien élevés. Après avoir tenter de faire le tour de l’aéroport pour prendre un taxi avec le meteur qui coutrait moins cher, on finit par negocier le même prix que celui affiché (wouhou…) de 70k roupies, direction Legian et notre hôtel Ananta. Ce dernier n’est pas trop mal pour le prix (moins de 50e la nuit), avec une piscine et son bar, et le petit dejeuner buffer compris (la bouffe n’est pas folle mais ils ont fait l’effort de varier le buffet un tant soit peu).

Petit sieste et piscine avant de prendre un taxi pour notre premier temple hindu, Tanah Lot. Ce dernier est posé sur un rocher qui est englouti par les eaux à la marée haute. La vue est superbe et on a pris pas mal de photos du littoral. Cela dit, c’est assez petit et après s’être rendu aux abords qui rocher qui est n’est pas visitable, on est allé prendre un verre a l’un des bars sur la falaise. Le taxi nous avait attendu pour 30k roupies durant cette petite heure. Il nous as ramené a l’hotel. Après s’être changé, nous nous somme dirigés vers la plage. Je n’avais jamais vu une plage aussi sale de ma vie. Le sol était jonché de détritus plastiques tout comme la mer. A peine rentrés dedans, l’on sentait tous les sacs plastiques nous passer entre les pieds. En fait, on l’a appris par la suite, cela se passe que durant la saison humide ou la mer est généralement agités et ramène vers la côte tous les déchets des iles… (les locaux n’ayant pas de systèmes d’égouts et d’ordure, jettent les déchets dans les rivières… qui s’écoulent ensuite). Apparemment c’est beaucoup mieux en été (enfin cela ne règle pas le problème non plus).

On a donc marché tous le long de la plage jusqu’a Kuta dans la rue marchande de Jalan Legian, ou se trouve la plupart des magasins, bars, restaurants et boites de l’ile. On a pu voir le monument aux morts de l’attentat de 92 qui avait fait près de 200 morts. Puis on s’est rendu sur la plage pour le couché de soleil. On est reparti à pied jusqu’à l’hotel, dans la nuit presque noire. Il faut dire qu’il y a un bout de chemin entre Legian et Kuta et que faire ca a pied, nous a bien pris 2 heures aller-retour pour faire le tour de la ville.

Un tour dans la piscine, une douche et on est reparti pour aller diner dans un restaurant indonésien-chinois. Pas forcément fou, faut dire que l’on n’a pas payé cher non plus (3 euros par personne). Puis direction la baie ou l’on a trouvé un restaurant plus sympathique qui nous a servi le dessert : crêpes, banane, chocolat, glace… carrément.

Le lendemain, après un bon petit dejeuner copieux, direction le sud. Nusa Dua ou la plage est apparemment bien : Geger beach. Taxi pendant une bonne demi-heure, jusqu’à l’hotel The Mulia (enfin a gauche juste avant, entrée de la plage payante). C’est vrai que cette fois-ci, l’eau est propre et l’on en profite pour se baigner tranquillement. Les sièges privées coutent presque rien (moins que la bière en tout cas), donc on se pose, histoire de bien prendre des coups de soleil.

Puis après s’être fait jeter du Mulia alors qu’on voulait juste prendre un taxi, on repart par la ou l’on est venu. En effet, les taxi peuvent déposer sur la plage, mais ensuite ce sont des chauffeurs privée qui ramènent, avec des prix évidemment différents… On remonte donc sur la route principale a 400m pour prendre un taxi. Direction le GWK (Garuda Wisnu Kencana Cultural Park) ou se trouve une statue de Garuda et autres. On fait donc nos touristes a prendre des photos de l’immense statue du dieu Garuda et de la statut d’un aigle (j’imagine). Et, coup de bol, on tombe sur des amis de Hong Kong… comme ca, par hasard. On décide alors de continuer la journée ensemble, il faut dire qu’on avait prévu le même parcours. On passe voir le spectacle traditionnel assez marrant puis direction la cote ouest de la partie sud de Bali, vers Blue Point (près de la fameuse plage de Padang Padang ou se retrouve les surfeurs).

La vue est superbe, on décide de manger à flanc de falaise dans un petit boui-boui ou le vent ferra des siennes. Après quelques photos, le temps pressant on repart, cette fois-ci dans la voiture de nos amis, direction le spectacle du temple d’Uluwatu, la danse Kecak.

Le prix par personne n’est pas donné, mais le spectacle est assez long. C’est une histoire chantée et jouée par les homme-singes (si j’ai bien compris) avec des acteurs représentant les dieux. Un méchant, une gentille, un singe sauveur, bref. Assez atypique et finalement, cela valait le coup, malgré l’ondée que l’on s’est pris pendant 5 min. Après quelques rapides photos de la falaise et du temple perché dessus, on repart pour notre hotel. Et la… 2h pour faire les quelques 20km qui nous sépare de Legian. Il faut dire les routes sont minuscule et tout le monde prend la voiture pour se déplacer.

Le soir, on retrouve nos amis à Seminyak ou ces derniers avaient pris une villa (ils avaient je pense eu tout a faire raison, vu le prix). Seminyak semble plus calme, plus classe et l’architecture beaucoup plus sympa que Legian ou Kuta. Il faut dire c’est le St Tropez local. On dine dans un restaurant italien (… pas très original je l’accorde mais carrément bon – Trattoria). Puis direction le Ku De Ta, un café lounge très classe et sophistiqué au bord de l’eau ou les cocktails coutent 15 euros. C’est le même groupe que celui de Singapour (en haut du Marina Bay Sands) ou de Bangkok. Un groupe français ? Je n’ai pas réussi à trouver de preuve mais ca ne m’étonnerai pas. En tout cas c’est très haut de gamme et forcément plus âgé. Après un petit verre dans ce bar, on a voulu aller en voir un autre, le Potato Head Beach Club… qui franchement met lui aussi la barre très haute en terme d’architecture. Vide on n’est pas resté, on pensait que c’était une boite mais en fait ce n’est qu’un bar-lounge sur la plage (certe de qualité). On a donc trouvé de la musique et un dancefloor digne de se nom à deux pas, au Hu’u. Ici encore, les prix sont les même qu’à Hong Kong, mais on s’est bien amusé et la musique était plutôt sympa (électro).

Le lendemain, direction Ubud ou l’on passe nos deux autres nuit. Le Sri Ratih Cottages est l’établissement, certes un poil excentré mais à la décoration très sympa, mélangeant cottage et jungle avec la piscine en arrière plan. Bon ce n’est pas non plus un resort mais ca nous suffisait largement. A noté, le temps mis pour s’y rendre de facile 1h30-2h, du encore une fois aux embouteillages. Il faut dire c’était le nouvel an chinois et les touristes chinois ont l’habitude de se balader en groupe et qui dit en groupe, dit en bus et qui dit en bus… dit embouteillages vu les petites routes de Bali.

Arrivés à Ubud dans notre cottage, on profite du jour pour aller directement visiter la “Monkey Forest”, sorte de parc au centre de la petite ville, ou se trouve quelques temples et beaucoup de singes en liberté. Les arbres de la jungle du parc ont une certaines majesté mais on passe surtout son temps a regarder autour pour éviter que l’un des macaques vienne nous sauter dessus. En réalité, ils sont juste intéressés par les gateaux. Quelques photos sympa et on part faire du shopping. Je passe chez Quicksilver ou les prix ne sont pas forcément exhorbitant (30euros). Contrairement aux magasins Polo Ralph Lauren, QuickSilver et RipCurl (et les surement les autres magasins de surf) ne sont pas des fakes. En effet Ralph Lauren n’a pas la marque en Indonesie et ne produit/vend rien. Ce n’est donc que de pale copie, vendus à un prix exhorbitant. Après quelques souvenirs, une glace, direction l’hotel pour profiter de la piscine. On ressortira manger dans le centre sur la rue principale avant d’aller se coucher.

Le lendemain, on avait booké un chauffeur pour faire le tour d’une journée qui fait : les rizières en terrasses, le temple de l’eau Tirta Empul, les plantations de café/cacao, la vue sur le volcan Batur, le temple Pura Besakih et finalement le Elephant cave Goa Gajah. Ce qui s’est passé c’est que notre chauffeur, très gentil nous a baratiner un truc pour nous emmener d’abords dans un shop de peintures puis dans un autre de sculpture sur bois. Malheureusement pour lui, on n’avait besoin de rien. On est allé dans les rizières se balader, ou il faut évidemment commencer par payer le péage du gouvernement puis mettre une donation pour la fabrication du pont en bois qui permet de traverser le ruisseau… bref, mais à part ca, super jolies et très calmes. Les gens y travaillent toujours (enfin semblerait). Pour ce qui est du temple de l’eau, il est assez atypique et les plus courageux/les bon vieux touristes qui aiment le pseudo sensationnel, iront se baigner avec les locaux pour prier sous les fontaines d’eau sacrée. Ensuite viennent les plantations de cafés. En gros il y en a tout le long d’une route. L’intérêt majeur de la visite, à part si vous voulez acheter le café le plus cher du monde (Kopi Luak), est d’apprendre comment on fait le café, comment est le cacao lorsqu’il est cueilli, quelle tête a la racine de ginseng etc. Ensuite une dégustation est offerte pour tous les produits vendu sur place (Organique… oui il parait) à des prix plutôt bien élevés. Surtout que bon le café venait de Java (l’ile d’a coté) mais cela ne veut pas dire qu’il est mauvais. Quand au café le plus cher du monde, celui dont les grains sont d’abords digérer par le petit animal qu’est le Luak, il serait fait sur place.

Suivant cette visite, on est parti monter sur la colline en face du volcan Batur, qui donne une vue imprenable surtout des restaurants. Un buffet pour 8 euros, pas forcément folichon mais ce n’est pas tous les jours que l’on mange devant un volcan (toujours actif). En repartant le conducteur nous indique que l’on ne devrait pas tenter le Pura Besakih, le plus gros de tous les temples car il y a un célébration et que les embouteillages sont présent sur 30km. On a bien voulu le croire, en voyant les voitures de locaux en habit de prière revenir sur la route. Il nous a amené à un autre temple à la place dont je ne me souviens plus du nom. On a raté le principal, on n’a pas pu vérifier. En gros ca peut très être une excuse car il ne voulait pas aller si loin… Bref on ne le saura jamais. On est tout de même passer voir un “centre” ou l’on peut monter a dos d’éléphant, pour 90 usd, soit 3 fois le prix de la thailande environ, on est reparti en courant. Finalement on a visité le dernier temple, l’éléphant cave, moins bien que les précédent je trouve, rien de bien spécial a part son petit chemin dans la rizière. Le soir, on a profité de la piscine puis on est allé manger dehors.

Le lendemain, dernier jour de notre voyage, on a reprise notre chauffeur pour aller vers Sanur, sur la cote est (contrairement a Kuta sur la cote ouest). On a manger tranquillement au bords de la plage dans l’un des restaurant d’hôtel, qui courent le long de ces 5km de sable. Puis on a marché tranquillement avant de reprendre le taxi pour l’aéroport. A l’aéroport, il ne faut pas oublier d’avoir encore sur soi 150k roupie pour payer les taxes de départ (comme aux philippines).

Finalement un voyage sympa qui permet de voir pas mal de paysage, de jolis architectures et toutes sortes d’activités. Cela dit je m’attendais a quelques chose de beaucoup moins construit, plus petit, plus haut de gamme. Quand on entend parler de Bali généralement, on n’imagine pas cela aussi construit que la Thaïlande… et pourtant si, même voir pire. J’y retournerai bien, mais plutôt au nord faire de la plongée ou alors sur l’ile de Lombok a l’ouest qui est beaucoup plus calme.

Budget : 800 euros

Transport : Tiger Air Mandala (400 euros) vol direct

Hotel : Ananta Legian et Sri Ratih Cottages Ubud

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Stop-over à Dubai d’une nuit

Rentrant en France pour les vacances de Noël, j’en ai profité pour faire un stop-over à Dubaï avec un pote, histoire de voir la ville dont tout le monde parle.

Depuis quelques années, Dubaï est surtout connue pour sa compagnie aérienne Emirates, l’une des meilleures du monde au niveau service, y compris en Eco. Les émirats étant situés au carrefour de l’Europe, l’Afrique et l’Asie (sans parler du Moyen Orient évidemment), beaucoup de vols long courrier pour rejoindre l’Asie passe par soit Dubaï, soit Doha au Qatar, Abu Dhabi aux émirats ou finalement Amman en Jordanie (Emirates, Qatar Airways, Etihad et Royal Jordanian).

Les vols sont peu chers et la qualité même en économie est incomparable. Donc finalement, j’ai pris mon vol de retour via Dubaï, en décalant le retour d’un journée afin de rester plus de 30h sur place pour visiter.

Malheureusement je n’ai pas pu avoir le Dubai Connect, sorte de package offert par Emirates qui comprend hôtel et transport pour les escales de plus de 8h. Semblerait que ce package soit disponible seulement quand vous êtes obligés de faire une escale de plus de 8 heures sans autre solution. Or pour nous, les vols Dubai-Paris qui suivaient n’était pas pleins et donc on ne pouvait pas avoir plus de 8h d’escale. On a du choisir manuellement nos deux vols (HKG-DXB et DXB-CDG).

Cela dit, on a choisi un hôtel pas trop cher dans la vieille ville (si je puis dire) pour 90euros la nuit (5 étoiles quand même… sur le papier).

Arrivés a 5h du matin à Dubaï, on se dirige vers le taxi stand. Le prix est assez cher depuis l’aéroport car il y a une prise en charge minimum, elle écrite sur les panneaux et dans les taxis. Le prix des courses dans la ville est ensuite bien moins cher (quoique la ville est grande).

A l’hotel, nous récupérons notre chambre a 6h du matin et allons faire une sieste histoire d’être en forme pour visiter. On mangera dans le shopping mall en dessous de l’hotel histoire de faire vite. Puis direction la vieille ville et son marché d’or. Franchement assez déçu, ils y a beaucoup de touristes et la ville ne paye pas de mine. En fait il y a beaucoup d’échoppes mais il ne semble pas y avoir de vie de quartier. C’est assez bizarre. De toute façon la majeure partie des habitants viennent des pays alentours, de l’inde, du pakistan et des européens forcément. On prendra donc le petit bateau qui traverse la rive pour aller visiter l’autre coté, près du fort retransformé en musée.

Afin de ne pas perdre trop de temps, on n’a pas fait la visite du musée, on est allé directement au métro pour rejoindre le Dubai Mall, un des plus grand mall du monde qui se trouve au pied de la Burj Khalifa (la plus grande tour du monde). On avait déjà booké nos places pour le Sky desk de la Burj Khalifa, ce qui fut une bonne idée quand on voit le nombre de touristes au mètre carré. On a pu voir le soleil se couché tranquillement depuis 600mèters de haut. Cela ne reste pas si impressionnant car il n’y a pas beaucoup de tours suffisamment grande autour. Tout semble petit, le désert et la mer entourant la ville.

Ensuite on est allé dans l’Armani hotel qui se trouve dans la tour, cherchant désespérément un coin pour prendre un verre tout en regardant le spectacle d’eau et lumière de la marina, mais il fallu que l’on rejoigne le mall pour trouver quelque chose a manger et une bonne vue. Après ca, on est allé manger un couscous dans un restaurant adjacent au boulevard près de la marina (impossible de me rappeler le nom) mais de toute facon ca ne valait pas le coup. Très cher et pas forcément bon.

Tout est cher à Dubaï, j’imagine a cause de l’importation des produits. Cela dit les architecture et la décoration des hôtels et restaurants est recherchés et il est vrai que c’est agréable d’avoir des espaces nouveaux et luxueux qui sont finalement abordable au simple touriste. Par contre évidemment les prix sont aussi élevés qu’en Europe.

Après notre repars, on est parti au Four Points by Sheraton ou se trouve le bar Level43, qui est un rooftop avec la vue sur le boulevard et la Burj Khalifa. On a pris un cocktail dans le froid (beaucoup de vent) puis on est rentré dormir.

On n’est pas sorti en boite mais on a appris que les soirée étaient les jeudi et vendredi soir, vu que le dimanche doit être un jour travaillé dans le pays musulmans.

Le lendemain, réveil assez tôt, direction The Mall of the Emirates en taxi. Ce n’est pas tout près du vieux centre, ils nous a bien fallu 25min de route. Dans ce mall se trouve la piste de ski couverte que l’on voulait essayer.

40 euros pour 2heures, tout fournis : ski, combinaison, bâtons. Il manque juste des gants qu’il est possible d’acheter pour 3euros dans le shop d’à coté. -4 degrés a l’intérieur mais bien sec, ce n’est pas forcément désagréable.

Bon la piste n’est pas immense mais c’est déjà ca. Malheureusement le téléphérique est très lent et le tire-fesse n’est ouvert qu’après midi. Pour ceux qui ont déjà skier, on se fait chier au bout d’une heure… surtout a passer notre temps dans le téléphérique. M’enfin c’est fait 🙂

Retour a l’hotel puis taxi pour l’aéroport, direction Paris.

Verdict : c’est tout même une ville sans âme, très matérialiste et remplie de touristes et expats. C’est clairement par contre un bonheur pour les architectes et les promoteurs immobiliers qui peuvent s’en donner à coeur joie. Je pense que j’y retournerai en stop-over aussi surement afin de voir les quelques points que je n’ai pas pu voir. Par contre il est difficile d’y rester une semaine. Et puis, tout est cher et pour ce que c’est … ca ne vaut pas le coup.

Budget : 150-200 euros (avec souvenirs et ski)

Transport : Emirates (le vol a couté moins de 500 euros, HKG-CDG avec l’escale de 34h.

Hotel : Al Ghurair Rayhaan by Rotana (90 euros la nuit)

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Un saut a Shanghai

Un petit passage a Shanghai pour aller voir un de mes potes parti travailler la-bas.

Court week-end, sans réelle préparation de voyage, surtout pour aller faire la fête.

Arrivé la-bas le jeudi soir, je suis allé découvrir la chaine de bar français qui marchent pas mal en ce moment : Le café des stagiaires.

Le lendemain, passage au fabric market près du Nanpu bridge ou j’ai pu faire quelques chemises a 100rmb. Elles ne sont pas de la meilleur qualité mais au mois sur-mesure et pour un prix vraiment attractif.

Le soir on est parti manger un bon steak dans Tianzifang, le quartier des artistes de Shanghai. Ensuite, rendez-vous au dernier Perry’s ouvert, sorte de bar de jeunes expats (étudiants la plupart) pour un anniversaire. On continuera à l’un des “nouveaux” gros club de Shanghai, le Muse. Au moins on avait de la place pour danser. 100 rmb pour 3 tickets de verre. On a terminé par le club Hollywood en fin de soirée.

Le lendemain, la journée vu assez courte. Je me suis baladé en ville autour de Xintiandi. On est allé manger dans le coin puis on a retrouvé un amis dans un bar américain avant d’aller faire une partie de soirée dans un appart.

Dimanche, j’ai pu aller visiter le Shanghai Urban Planning Exhibition Center sur People Square qui donne un aperçu historique de la ville et des prochains developpments urbain. Et hop dans l’avion pour retourner à Hong Kong.

Budget : 250 euros

Transport : Spring Airlines pour une centaine d’euros

Hotel : 24K International Hotel, People Square

Bangkok et Hua Hin pour un week-end

Gros week-end de nouveau en Thaïlande.

Mi-novembre j’ai un ami de France qui passe me voir pendant 2 semaines à Hong Kong. Comptant mes jours de congé sur les doigts de deux mains ou presque, je lui avais promis un long week-end on l’on partirai visiter une destination exotique.

Thaïlande cette fois-ci encore, avec une autre destination à la clef. Décollage le jeudi soir de Hong Kong pour Bangkok ou l’on a passé quelques jours tout de même histoire de lui faire visiter la capitale qui regorge de site touristiques.

Le temps n’était pas avec nous mais on a pu faire quelques sorties le vendredi en commençant par le Wat Arun de l’autre coté de la rivière Chao Praya. L’un des plus beau temples à mon avis, que l’on peut gravir pour avoir une vu sur Bangkok.

Quelques photos souvenir puis nous prenons la barge qui travers la riviere pour quelques bahts afin de marcher jusqu’au Wat Pho, le temple du buddha allongé. Le temple est assez grand et il y a plusieurs architecture sympa. Malheureusement arrivant après les 16:30 (ou 17h), le palais principal fermait. On continue jusqu’à Kao Shan Road pour aller acheter des souvenirs et autres cadeaux de noel. J’ai pu m’offrir des patchs ( a coudre) de drapeaux des pays que j’ai visité afin de les coudres sur mon sac de voyage (prix : 20 baht/piece).

Le soir, on part sur Sukhumvit soi 11 ou l’on boit un coup à l’un des “voiture-bar” qui se trouve tout le long de la route. Quelques discussion avec les gens autour puis on part pour tester le Levels, le gros club de la rue. Plein à craquer, deux salles avec deux ambiances. Un peu trop de monde en fait, difficile de rejoindre la piste, beaucoup de touristes (comme nous). Ce n’est clairement pas un club de locaux.

Le lendemain, direction Anusawari Chai (BTS Victory Monument) pour prendre un bus pour Hua Hin. 3 heures de mini-van serré comme des sardines. Il y en a toutes les demi-heures environ et le prix est fixe 180 baht. Les bus partent les uns a la suite des autres mais n’ont rien d’écrit dessus donc on passait notre temps à demander si c’etait bien celui-la. Finalement on a réussi a avoir des places pas trop pourris mais il y est clair qu’ils remplissent le van au max.

Arrivé à Hua Hin, on a pris un taxi qui nous a fait la course pour 80baht fixes, ce qui est évidemment bien de trop cher. En fait il y a des camions de couleur différentes qui font un circuit dans la ville et passe devant les principaux hôtels. Il permettent de se déplacer pour très peu cher (20 baht). Par contre ils faut savoir ou se poster et les heler quand il passe. Ils sont généralement facilement reconnaissable (on montent a l’arrière). Le pb est que des taxis privées utilisent le même genre de camion-pick up et qu’il ne pratique pas le meme prix, donc il ne faut pas se faire avoir. Il y a bien évidemment des touk-touks mais il faut négocier sec pour obtenir un bon prix, surtout la nuit.

Hotel sympa mais un peu excentré. Finalement, un peu cher j’ai trouvé pour ce que c’était. On avait au moins la piscine mais on était loin du centre (Smile hotel). On a donc profiter des deux jours pour visiter la ville, son marché, son temple, la gare qui est très sympa visuellement parlant. On est aussi allé voir la plage, qui malheureusement est très brassées, donc pas clair et qui a l’époque regorgeait de méduses (vivantes)… Cela nous a refroidit pas mal. Hua Hin n’est pas forcément le mieux pour les sports d’eau, l’eau n’étant pas clair, il est impossible de faire de la plongée.

Le soir on est allé dans la seul pseudo-boite qui se trouve accollé a l’hotel Hilton. Celle-ci accueille des live-band puis ensuite un dj. Le public est hétéroclite, et la salle ressemble plus à une auberge allemande qu’autre chose, m’enfin il y a que ca. Vers 2h, le bar ferme et on est parti dans l’un des lounges a coté. Pas forcément la meilleure ville pour la night-life.

Le dernier jour, on est reparti directement vers l’aéroport BKK cette fois-ci dans un grand bus VIP, beaucoup moins entassé qu’a l’aller. Par contre il vaut mieux preparer son retour a l’avance car il y a un nombre limité de départ et à horaire fixe évidemment. (http://www.airporthuahinbus.com)

On a atterri finalement vers 20h à Macau, ou j’ai pu faire découvrir les merveilleux casino de Cotai-Taipa à mon pote.

Budget : 450 euros

Transport : AirAsia à l’aller et Thai Airways au retour (pour macau). AR a 165 euros environ

Hotel : Bally’s Studios Suites à Bangkok et Smile Hua Hin Resort.

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